lundi 30 novembre 2009

j'avais oublié la plus belle...


il faut que l'on se VOIT !

dimanche 29 novembre 2009



















Parce qu'il a toujours beaucoup de mal à repérer qui est qui dans mes amies...
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mardi 24 novembre 2009



J'ai couru jusqu'à mon rdv 1/ parce que j'avais quelques minutes de retard et 2/ parce que j'étais contente d'y aller. J'ai fais le code que je connais par cœur grâce à la mnémotechnique. J'ai sonné comme d'habitude, pourtant ce n'était pas comme d'habitude, sur la porte au dessus de son nom il y avait un autre nom (cru-je). Monsieur A. m'a ouvert et m'a gentiment montré que maintenant "pour lui" c'était l'autre sonnette sur le côté qui n'existait pas avant que je n'avais pas vue dans la précipitation et lui non plus il parait. Le nom au-dessus de son nom était en fait un prénom de femme qui porte le même nom que lui. Il m'a dit qu'il partageait le cabinet et que c'était plus simple comme ça. J'ai suggéré que c'était avec sa femme et je lui ai demandé si elle était aussi Psychanalyste - oui.
Après avoir raconté une anecdote intéressante je suis restée silencieuse quelques minutes. J'ai fini par casser le silence en lui disant : "- ça me perturbe cette histoire de sonnettes". Alors il m'a tout bien expliqué le pourquoi et la raison. J'ai rit parce que je savais qu'il savait que derriere ce n'était pas qu'une histoire de sonnettes, qu'il y avait autre chose qui m'échappait. C'était comme-ci j'étais entrée dans sa salle de bain et que j'avais vue 2 brosses à dents. Une sorte de déception foudroyante qui m'a fait monté les larmes et pleurer sans en connaitre la raison. Il pensait avoir dit à tous les analysants qu'il partageait ce cabinet, moi je ne le savais pas. Depuis février une autre personne travaille dans ces lieux et pas n'importe qui, sa femme qui fait le même métier que lui. "- cela explique les fleurs..." lui ai-je dis. Un bouquet frais chaque semaine. Bien que je ne doute pas que mon analyste pu être rafiné.
J'ai entendu parlé de transfert mais je ne sais pas vraiment de quoi il s'agit.

dimanche 15 novembre 2009




Je lui ai demandé : ton coeur est trop serré ? trop grand ? trop rouge ?... Elody ne sait pas. En tout cas il ne fonctionne pas très bien, alors à l'hôpital on lui a collé des électrodes sur la poitrine reliées à une sorte de Gameboy qui a enregistrée les battements de son coeur pendant vingt quatre heures. J'y trouve un quelque chose de poétiquement-dramatico-charmant à la Amélie Poulain, qu'elle n'a d'ailleurs jamais vu cette petite idiote !
J'attend aussi les résultats.