samedi 27 février 2010

dance with me



Promenade de fin d'été avec Caroline et Sabrina les copines de la danse orientale.

mardi 23 février 2010

première tenue du jour avec charlotte


Charlotte porte :
- un top et un gilet : zara
- un jean : promod
- des chaussures : laredoute

samedi 20 février 2010

anniversaire

Il y a 22 ans j'ai eu un petit frère...
C'est pas rien un petit frère.
Je me souviens que quand il était dans le ventre j'étais pressée qu'il arrive.
Puis quand il est né j'étais pressée qu'il est six ans !
Je souhaitais publier une photo, celle où je suis assise sur le lit de la maternité avec ce petit bébé dans mes bras. Je l'ai déjà vue cette photo, je ne l'ai pas inventé mais je ne sais pas ni où elle est, ni où je l'ai vue. Elle n'est pas dans les albums de la maison et quand je pose la question à ma mère elle dit qu'elle ne sait pas sur un ton agacé.
Alors je me suis mis dans l'idée de la retrouver et de vous la montrer !

vendredi 19 février 2010

Hier, jeudi.
Je n'ai pas eu cours de la journée. Et mes grasses matinés me permettent de rêver, en tout cas de me souvenir de mes rêves. C'était deux cauchemards en fait. Le premier consernait le premier dossier que j'ai rendu depuis le début de ma formation (il m'en reste 6, sans compter le mémoire, gloup!). Ça peut paraître fou mais c'était un événement. Je l'ai remis mercredi dans le casier du formateur qui lit les dossiers de santé. Et mon cauchemard était la suite. Il me l'avait rendu avec la couv remplie d'annotation au crayon de papier, partout où il restait du blanc. Des annotations du genre : "tu n'as pas fait d'intro ! tu es en retard ! les étudiants de 3ème année de l'année dernière les plus en retard avaient commencé à travailler maintenant !"..C'était horrible, comme-ci le petit travail de 5 pages que j'avais fournit ne comptais pas. Puis il y a eu un second rêve où le même formateur "vendait" son cours à hauteur de 200€ ou 50€ la demi heure pour ceux qui ne pouvaient pas se le permettre. Quand tu donnais l'argent on te donnais des jetons, des sortes de grosses pièces anciennes couleur bronze. J'en avais sur moi, et je me suis dis autant les utiliser pour ça puisque je ne saurais pas quoi en faire sinon. On me les refuse. Puis un garçon m'appelle et il me dit qu'il veut bien me faire "passer". Je lui demande comment il s'appelle, il me répond "Juliette", je lui repose la question et il me répond "Juliette". Alors ce garçon était en fait une fille au physique de garçon. Elle m'a fait entrer car elle pensait que le formateur était mon père et que comme mes parents étaient divorcés je ne devais pas le voir souvent.

Monsieur A a dit : Remarquable !

lundi 15 février 2010

samedi 13 février 2010

J'ai envie de bijoux !

Un sautoir  plumedepaon, un collier nœudpapillon et le sautoir maxinuagerosepoudré de hop hop hop.

 

mercredi 10 février 2010

image : rêve de cette nuit, un divan gigantesque (pardon pour la perspective)


 

C'était hier.
Quand j'ai posé mes affaires je lui ai dis : "aujourd'hui je suis fatiguée alors je m'allonge".
Une fois cela fait je lui déclare que "j'ai envie de me plaindre... - faites".
Alors j'ai dis que j'étais fatiguée, que j'avais mal aux pieds parce que j'avais marché 3h parce que j'étais à la rue et blablala... et aussi que je n'avais plus les seins qui tombaient... Voilà comment à commencé mon rendez-vous avec Monsieur A.
Il n'y a que ici que je l'appelle ainsi, parce que ici je ne parle pas tout à fait comme dans la vraie vie, dans la vraie vie je n'ai rien trouvé de mieux et d'innovant que de l'appeler "mon psy".
Ca faisait longtemps que je ne m'étais pas allongée sur le "divan".
Il y a quelques mois j'avais repris place dans le fauteuil face à Monsieur A. parce que je me sentais seule et perdue et j'avais à nouveau besoin de son regard.
Il y a de nouveaux bibelots à contempler de cet endroit. Mon regard se promène alors. D'abord sur le mur blanc d'à côté qui n'a pour ornement qu'une applique lumineuse. Puis je regarde une à une les statuettes en pierre disposée sur l'étagère d'en face, l'une d'elle a des seins et une autre une moustache. Je continue de poser mes yeux, sur cette grande toile de tissu sombre venue d'ailleurs, décorée de fils de couleur et de paillettes. Je crois que mes yeux font un circuit fermé. Selon ce que je raconte ils se baladent d'un point à un autre sur ce mur auquel je tourne le dos lorsque je suis dans le fauteuil. Et au bout de 45 min quand il m'a dit que c'était terminé je me suis redressée en lâchant du plus profond de mon être : "ça m'a fait du bien !".
J'étais ressourcée et avais le courage de marcher encore un peu sans avoir mal aux pieds jusqu'à l'arrêt de bus pour rentrer.

lundi 8 février 2010



















Ce soir je n'avais pas envie de rentrer. J'ai proposé aux copines du CERPE de se relayer pour m'accueillir chacune leur tour chez elles toute la semaine.
Finalement j'ai diner avec mes parents (ce qui arrive rarement) et j'ai bien rit.

Ce soir je n'avais pas envie d'aller au cours d'accordéon de 22h30. Et même que j'ai dis que j'allais peut être arrêter (le massacre).
Finalement c'était moins pire que ce que j'avais imaginé et la semaine prochaine je joue avec la copine mimie Poulain. Tout un programme.

jeudi 4 février 2010

C'est au sujet de mes seins


"Cette aprem pendant le cours de psycho, j'avais l'impression de ne plus avoir de seins".
Je lui ai dit comme ça à Monsieur A.

Pendant le cours j'ai dit à la copine Adeline assise à côté de moi qu'il me fallait un soutif.
J'en porte rarement. Ma petite poitrine me permet de m'en passer, ce qui m'arrange parce que je trouve ça inconfortable même si c'est sans doute une question d'habitude.
La sensation que j'avais était pénible comme-ci je les écrasais contre une vitre. Je les retenais avec mes bras croisés parce que j'aurais dit qu'ils tombaient. J'avais l'impression que mes seins s'effaçaient de mon corps.
Durant mon rdv je n'ai pas réussi à me souvenir à quel moment du cours j'avais ressentit ça ni ce qui se disait à ce moment là. Et puis dans le métro du retour je crois que j'ai trouvé. Durant ce cours, à un moment on a parlé d'image et de photographie. Et des photos j'en prend toujours, en tout lieu, sans raison, comme-ci je cherchais à figer un instant, un souvenir, une pensée... pour ne pas en perdre une miette.
Le fléau de notre société moderne c'est la diffusion d'image et des écrans partout.
Je collectionne des images glanées de-ci de-là sur internet.
des filles.
Qui dorment.
des filles.
Aux cheveux longs.
des filles.
Qui montrent leur peau.
des filles.
Avec des robes froufroutantes.
des filles.
Qui ont les cheveux nattés.
 des bouts de filles.
 Des jambes de filles.
des filles,
Qui tournent le dos.
des filles.
Qui prennent des photos.
des filles.
Qui font de la prison.
des filles.
Qui se cachent.
des filles.
Qui portent du tissu à carreaux.
Des filles.
Qui prennent des postures de filles.

lundi 1 février 2010

essayage de robe en direct

nono et sa tarte au citron meringuée

















Nous re voici sur la route du CERPE pour les cinq petits mois à venir.
Comme dirait nono "dernière ligne droite jusqu'au diplôme !" Amen.