samedi 2 janvier 2010

comme un dimanche


 
 

Parfois il arrive que l'on s'endorme chacun d'un côté du lit, sans presque se toucher. On est un peu faché parce que on a eu une discussion de dimanche soir et le dimanche soir c'est pas terrible. Surtout le dimanche soir de la fin des vacances.
Je pense à la montagne de travail qui m'attend pour les six prochains petits mois,
Je pense au rendez-vous de lundi avec les formateurs pour parler de mon incapacité à écrire,
Je pense aux enfants cabossés du jardin d'éveil spécialisé que je vais retrouver mardi...
Le plus souvent heureusement on s'endort collés, mes fesses contre son ventre et sa main enveloppant mon sein, je suis apaisée.

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